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Panorama PerspectivesRépondre aux situations d’urgence sanitaire chez les animaux aquatiques

Perspectives Posté sur 2023-12-12 12:33:54

Répondre aux situations d’urgence sanitaire chez les animaux aquatiques

Auteurs

M. Stone, SPADE Solutions Ltd, Nouvelle-Zélande.

Les désignations et dénominations utilisées et la présentation des données figurant dans cet article ne reflètent aucune prise de position de l’OMSA quant au statut légal de quelque pays, territoire, ville ou zone que ce soit, à leurs autorités, aux délimitations de leur territoire ou au tracé de leurs frontières.
Les auteurs sont seuls responsables des opinions exprimées dans cet article. La mention de sociétés spécifiques ou de produits enregistrés par un fabricant, qu’ils soient ou non protégés par une marque, ne signifie pas que ceux-ci sont recommandés ou soutenus par l’OMSA par rapport à d’autres similaires qui ne seraient pas mentionnés.

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Objectif 3 de la Stratégie de l’OMSA pour la santé des animaux aquatiques 2021-2025

Les secteurs aquatiques, de l’aquaculture et de la pêche sauvage, sont très régulièrement affectés par des épidémies (notamment de maladies nouvelles et émergentes), mais aussi par d’autres types d’urgences liées à des processus naturels ou à l’intervention humaine. La résilience face aux urgences constitue l’Objectif 3 de la Stratégie de l’Organisation mondiale de la santé animale (OMSA) pour la santé des animaux aquatiques. Elle nécessite planification, développement des compétences, partenariats et formations, soit des démarches devant être entreprises avant l’apparition d’événements d’urgence. Planifier l’ensemble des risques et les inclure dans les systèmes de gestion nationaux de situations d’urgences constitue une approche intégrée favorisant le développement des capacités du secteur aquatique à répondre rapidement et efficacement aux urgences.
 

Foyers de maladies exotiques et émergentes dans l’aquaculture moderne 

L’accroissement des facteurs de risques d’épidémies et de nouvelles maladies démontre que ces dernières constituent une menace majeure pour la production d’animaux aquatiques. La Conférence mondiale de l’OMSA sur la santé des animaux aquatiques, organisée en 2019, s’est intéressée aux raisons de cette situation, aux options pour y faire face, et à ses impacts. La Stratégie de l’OMSA pour la santé des animaux aquatiques donne un cadre de travail pour répondre à cette situation, à échelles nationale et mondiale [1]. La croissance rapide des systèmes de production de diverses espèces et la dépendance au commerce de géniteurs, de nourriture et de produits issus d’animaux aquatiques sont autant de facteurs favorables à l’émergence et à la propagation de maladies. La tendance d’une production intensifiée a mis en lumière les vulnérabilités des systèmes de biosécurité [2]. Depuis 2000, deux nouvelles maladies sont en moyenne listées tous les trois ans dans le Code sanitaire de l’OMSA pour les animaux aquatiques, et ce, toujours en raison des impacts significatifs liés à la production aquacole, notamment la mortalité animale lors d’épidémies.  

 Topographie des risques pour le secteur aquatique 

Les menaces ne se limitent cependant pas aux situations d’urgence liées aux maladies. La dépendance aux environnements fluviaux, estuariens et costaux occasionne une vulnérabilité face aux catastrophes naturelles liées directement ou indirectement au changement climatique, dont les sécheresses, les inondations, les cyclones, l’acidification des océans, l’hypoxie et l’élévation du niveau de la mer. Les risques liés à l’intervention humaine dans l’aquaculture proviennent de pratiques de production non durables, de mauvaises habitudes de gestion et de la pollution, générant de ce fait des risques en termes de sécurité alimentaire [2]. 

Pour être préparé et efficace en cas d’urgence, le secteur aquacole doit adopter une approche globale des risques, en commençant par une analyse des risques spécifiques aux lieux et aux systèmes de production impliqués, afin d’identifier, de caractériser et de hiérarchiser les menaces naturelles et liées à l’intervention humaine, ainsi que leurs impacts potentiels. L’engagement d’équipes pluridisciplinaires au cours de ce processus garantira une prise en compte étendue de ces risques et permettra, en outre, de révéler des problématiques qui auraient pu, sinon, être omises [3]. Des outils et des modèles sont disponibles pour guider les équipes dans l’analyse des risques, toutefois, des cadres de travail simples peuvent aussi être très efficaces pour appuyer l’engagement de plusieurs acteurs et structurer leur contribution.  

Disciplines de gestion des urgences 

Motivés par le souhait de développer une approche multidisciplinaire et systémique, les experts en gestion d’urgence de différents secteurs ont renforcé leur collaboration dans le cadre d’activités de préparation et de réponse aux situations d’urgences. Les systèmes de gestion des incidents fournissent un cadre de directives et de contrôle favorisant la collaboration entre les différents acteurs impliqués dans la réponse aux incidents et entre les différentes agences concernées. Ce type de cadre de travail est souvent mis en place au cœur des systèmes de gestion nationaux d’urgence, et est typiquement dirigé par le gouvernement central, tout en permettant à un ensemble d’acteurs gouvernementaux (c’est-à-dire différentes agences gouvernementales apportant des compétences techniques, financières, de soutien et de mise en œuvre) et de la société (c’est-à-dire la société publique, privée et civile) de mutualiser leurs compétences au sein d’une structure opérationnelle unifiée et cohésive. Les disciplines au sein de ce type de systèmes vont des mécanismes de perception de la situation (par exemple, les rapports de situation) aux méthodes de gestion et de traitement des données (par exemple, les logiciels de gestion des incidents), en passant par la gestion de l’information publique, conformément aux principes de communication liés à la gestion des risques et des crises. Ces systèmes nécessitent des méthodes d’apprentissage permettant de développer les compétences des personnes impliquées, à travers l’élaboration de documentations adaptées à chaque rôle mises en scène à travers des exercices de simulation (modélisations de scenarios collaboratifs, jeux). Les revues « post mortem » garantissent que les expériences acquises au fil des différentes situations d’urgence nourrissent l’apprentissage et l’amélioration, de façon continue.  

Planification d’urgence et développement des compétences de gestion des urgences 

Les résultats de deux Compétences critiques obtenus dans le cadre d’évaluations du Processus PVS ont mis en lumière le niveau d’anticipation limité des Membres de l’OMSA pour répondre à l’émergence d’épidémies [3]. De bons exemples de planification d’urgence et de partenariats public-privé centrés sur l’anticipation et la capacité à répondre à ces situations d’urgence dans le secteur aquatique existent, comme en témoignent des rapports australiens, et démontrent qu’il est possible d’améliorer sa capacité à répondre à l’émergence d’une maladie [4]. Les Centres collaborateurs de l’OMSA ont mis en place le Réseau des Centres collaborateurs de l’OMSA pour les urgences vétérinaires (EmVetNet) afin de proposer un soutien technique aux Membres pour que ces derniers puissent mieux anticiper et répondre aux situations d’urgence [5]. Cette initiative s’inscrit dans le cadre d’un Programme OMSA en cours de développement, dédié à la gestion des situations d’urgence et à la résilience, et élaboré en collaboration avec les partenaires opérationnels de l’Alliance quadripartite(1) et Interpol, ainsi qu’avec des partenaires financiers du Fonds mondial pour la santé et le bien-être des animaux.  

Le Thème technique de la 89e Session générale de l’OMSA et la Stratégie de l’OMSA pour la santé des animaux aquatiques 

Au regard du contexte actuel de maladies émergentes, de pandémies et de risques accrus de catastrophes naturelles et anthropiques, ainsi que de l’importance croissante de s’engager dans des systèmes de préparation et de réponse à ces situations d’urgence tant au niveau régional, national que mondial, l’OMSA a consacré le Thème technique de sa 89ème Session générale à ce sujet central [3]. Ce Thème technique a permis d’étudier la topographie des différents risques (Figure 1), les disciplines de gestion des situations d’urgence, l’étape de mise en œuvre par les Membres OMSA, les initiatives en cours et les futurs axes à envisager dans le cadre du programme de travail de l’OMSA dans ces domaines. Ces sujets devraient être pris à bras le corps par les Services vétérinaires et les Services sanitaires pour les animaux aquatiques, à travers le développement des compétences de leur personnel, la création de relations inter-agences et intersectorielles avec des services d’urgence au sein de systèmes nationaux, et la recherche de collaborations régionales afin d’optimiser l’utilisation des ressources et de proposer des mesures innovantes d’adaptation et d’atténuation des risques. L’intégration de l’Objectif 3 sur la Résilience aux situations d’urgence zoosanitaires à la Stratégie de l’OMSA pour la santé des animaux aquatiques fournit une méthode de planification ciblée d’interventions favorisant le développement des compétences et capacités des Services nationaux pour la santé des animaux aquatiques, et de leur réponse aux situations d’urgence impactant la santé et la production des animaux aquatiques. Nombre de compétences et disciplines en lien avec la gestion de situations d’urgence sont génériques, et tous les utilisateurs bénéficieront du module dédié à la gestion des situations d’urgence, sur la Plateforme de formation de l’OMSA. Ce dernier a pour but d’aider les utilisateurs à comprendre le contexte spécifique, les menaces, les vulnérabilités et les possibilités d’atténuation du risque dans le secteur aquacole, et vient donc appuyer des objectifs supplémentaires d’autres programmes de l’OMSA. L’OMSA reste à la recherche de partenaires financiers et opérationnels pour atteindre ces objectifs.  

Figure 1. Dangers concernant les services de santé vétérinaire et aquatique susceptibles de déclencher des situations d’urgence nationales. L’OMSA a récemment adopté le cadre de classification suivant pour les différentes formes d’urgences et de catastrophes : biologiques, géophysiques, météorologiques, climatologiques, hydrologiques et technologiques. Source :  Préparation et résilience OMSA – Organisation mondiale de la santé animale

(1) La Quadripartite est composée de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), de l’Organisation mondiale de la santé animale (OMSA), du Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE) et de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

https://doi.org/10.20506/bull.2023.2.3409

Références

  1. World Organisation for Animal Health (WOAH) (2021). – OIE Aquatic Animal Health Strategy 2021–2025,”. https://www.woah.org/en/document/oie-aquatic-animal-health-strategy-2021-2025/ .
  2. S. R.p, D.-D. J, M. C.v, and P. M.j, “Vulnerabilities in aquatic animal production,” vol. 38, no. 2, p. 423, Sep. 2019, doi: 10.20506/rst.38.2.2996.
  3. M. Stone, D. Donachie, C. Wannous, and K. Hamilton, “World organisation for animal health, Veterinary services and aquatic animal health services engagement in global, Regional and national emergency management systems (WOAH) (2022) sg8-en.pdf (woah.org) p. 45.
  4. S. K and E. I, “Sharing responsibility between public and private sectors for the management of aquatic emergency animal diseases,” vol. 38, no. 2, p. 533, Sep. 2019, doi: https://doi.org/10.20506/rst.38.2.3004.
  5. “Collaborating Centre Network for Veterinary Emergencies,” WOAH – World Organisation for Animal Health. https://www.woah.org/en/what-we-offer/emergency-and-resilience/collaborating-centre-network-for-veterinary-emergencies/ .

Informations relatives à l'article

  • Plan de travail sur l’antibiorésistance dans l’aquaculture

  • De nouvelles initiatives pour proposer des modules d’e-learning sur la santé des animaux aquatiques

  • Le réseau scientifique de l’OMSA pour la santé des animaux aquatiques

  • Évaluation et référencement des maladies émergentes

  • L’importance de la notification des maladies émergentes

  • Mise en œuvre des normes internationales de l’OMSA : quels défis ?

  • Focus sur l’importance des normes pour répondre aux besoins des Membres

  • Collaboration de l’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et de l’Organisation mondiale de la santé animale (OMSA), en faveur de la santé des animaux aquatiques

  • Comment impliquer les Membres dans le Processus PVS : Aquatique ?

  • Importance des normes de l’OMSA et normes prioritaires en vertu de la Stratégie

  • Évolution du Processus PVS et technologie numérique : amélioration des services et de la gestion des données

  • L’Observatoire de l’OMSA : une précieuse source de données et d’informations pour le renforcement des capacités des Services vétérinaires

  • Missions pour les laboratoires et projets de jumelage

    Vers des réseaux de laboratoires durables
  • Le Plan d’action conjoint « Une seule santé » (2022-2026)

    Œuvrons ensemble pour la santé des humains, des animaux, des plantes et de l’environnement
  • L’utilisation stratégique de WAHIS conforte le rôle leader des Services vétérinaires

  • Le système de formation de l’Organisation mondiale de la santé animale

  • Renforcer les capacités dans le domaine de la santé de la faune sauvage

  • Les exercices de simulation, un outil essentiel pour accroitre la résilience dans une optique « Une seule santé »

  • Œuvrons pour des systèmes de santé durables pour les animaux aquatiques

  • Le renforcement des capacités dans le domaine du bien-être animal

    Le bien-être animal, l’un des piliers du cadre de formation par compétences de l’OMSA
  • Renforcer les capacités en santé animale en recourant à l’approche GBADs pour évaluer l’impact des maladies animales dans le monde

  • L’Observatoire de l’OIE : un projet qui se concrétise

  • L’approche factuelle sur laquelle reposent les procédures et stratégies de l’OIE pour l’élaboration des normes et le renforcement des capacités va encore être enrichie

  • La transformation numérique au service de l’Observatoire de l’OIE, et inversement

    Perspectives offertes par les nouvelles technologies
  • Renforcement de la crédibilité du système international et de l’action collective

    Comment intéresser les Membres de l’OIE au nouveau dispositif de suivi de la mise en œuvre des normes de l’OIE ?
  • Renforcer l’application des normes internationales : les recommandations de l’OCDE pour l’Observatoire de l’OIE

  • Apprendre de l’expérience des autres organisations internationales

  • En quête d’un équilibre entre les bienfaits nutritionnels et les risques infectieux liés à l’élevage dans les pays à revenu intermédiaire de la tranche inférieure

  • Combiner les données du secteur public et du secteur privé pour optimiser les investissements en santé animale

  • L’impact des maladies animales est-il le même pour les hommes et pour les femmes ?

    Rendre visible l’invisible...
  • GBADs : le moment est opportun

    Le GBADs permettra une meilleure gestion de la santé animale...
  • La force du travail en partenariat

  • Que peut apporter le programme GBADs ?

    Le cas de l'Éthiopie
  • Le GBADs est lié au 7e Plan stratégique et à la stratégie de transformation numérique de l’OIE

  • De l’utilité du programme GBADs

  • Un partenariat mondial pour atténuer la menace microbiologique

    Le Partenariat mondial contre la prolifération des armes de destruction massive et des matières connexes
  • Méthode de bonne gestion des urgences : les fondamentaux

    Le manuel de bonne gestion des urgences est en cours de mise à jour...
  • De l’importance de lier la gestion de l’urgence zoosanitaire à un cadre public pour faciliter la mobilisation des ressources

    La démarche du Botswana...
  • Les vétérinaires ont un rôle à jouer pour prévenir le bioterrorisme et se préparer à y faire face

    Les forces de sécurité et les vétérinaires doivent coopérer en matière de défense contre les attaques microbiologiques délibérées...
  • L’assurance et la réassurance ont-elles un rôle à jouer pour mobiliser les ressources dans les contextes de faibles ressources ?

  • La préparation au risque de peste porcine africaine dans les Amériques

    Bilan des résultats de deux questionnaires...
  • Diffusion des bonnes pratiques de gestion de crise au moyen des nouvelles technologies

    La Représentation sous-régionale de l’OIE pour l’Asie du Sud-Est facilite la communication entre experts...
  • L’action de l’OIE face au COVID-19

    Quel est le rapport entre la COVID-19 et la santé animale ? Quel est le rôle de l’OIE dans ce domaine ?
  • Maintenance et étalonnage des équipements de laboratoire

    Les équipements des laboratoires vétérinaires sont-ils en bon état ?
  • Accroître la résilience face à l’agro-terrorisme et à l’agro-criminalité

    L’OIE, la FAO et INTERPOL unissent leurs forces contre l’agroterrorisme...
  • En quête d’approches innovantes pour une gestion pérenne de l’urgence zoosanitaire

    L’OIE a organisé un débat d’experts sur différentes approches de gestion pérenne de l’urgence…
  • Mesures de prévention et de contrôle de la peste porcine africaine

    Dans l’Union Européenne la peste porcine africaine a pu être circonscrite à des zones limitées…
  • Peste porcine africaine : une contagiosité modérée qui pose un dilemme

    Cette maladie se caractérise par une létalité élevée...
  • La filière porcine en Asie du Sud-Est et les défis de la gestion sanitaire

    Les porcs sont une source importante de revenus pour les populations rurales et péri-urbaines…
  • Impact économique mondial de la peste porcine africaine

    Cette maladie devrait fortement impacter le marché de la viande et de l’alimentation animale…
  • La peste porcine africaine et le Système mondial d’information sanitaire de l’OIE

    Le système d’information de l’OIE est essentiel pour centraliser les informations sur les foyers…
  • La communication sur les risques : un élément essentiel de la lutte contre la peste porcine africaine

    L’OIE a créé une campagne de sensibilisation sur cette maladie…
  • Groupe permanent d’experts de la peste porcine africaine pour les Amériques

    Une collaboration constante au niveau régional constitue la meilleure arme de prévention…
  • Groupe permanent d’experts de la peste porcine africaine pour l’Asie

    Pour faire face aux problèmes que pose cette maladie dans cette région du monde…
  • Groupe permanent d’experts de la peste porcine africaine pour l’Europe

    Pour développer une coopération plus étroite entre les pays touchés par cette maladie en Europe…
  • Contrôle mondial de la peste porcine africaine

    Il est possible de contrôler cette maladie moyennant une coordination régionale et mondiale…
  • Les partenariats public–privé–producteurs (4P) dans les filières agricoles

    Pour une insertion durable des petits producteurs dans les filières agricoles...
  • Le rôle des partenariats public–privé dans le secteur laitier

  • Partenariats public‑privé : conjuguer le meilleur des deux secteurs

    Le secteur public et le secteur privé doivent travailler l’un avec l’autre pour résoudre ensemble les problèmes qu’il est impossible de résoudre seul…
  • Les partenariats public–privé développent les capacités sanitaires et phytosanitaires et élargissent l’accès aux marchés

    Les partenariats public‑privé sont largement présents dans le travail du Fonds pour l’application des normes et le développement du commerce (STDF)…
  • Partenariats public-privé dans le domaine vétérinaire : bienfaits et problématiques

    L’OIE est la mieux placée pour conduire les initiatives de partenariats public–privé pour améliorer la prestation de services vétérinaires…
  • Les partenariats public–privé : une approche essentielle pour renforcer les Services vétérinaires dans le monde

    La mise en place d’un partenariat public–privé a été déterminante dans l’éradication de la peste bovine…
  • Le rôle de la communauté vétérinaire dans le maintien du statut sanitaire élevé des chevaux de compétition

  • Le partenariat public–privé entre l’OIE et l’IHSC

    Supervision et principales réalisations…
  • Histoire du partenariat public–privé OIE/IHSC

  • Les enjeux pratiques des déplacements internationaux de chevaux de sport

    En dépit des progrès, des difficultés pratiques subsistent…
  • Vers une accélération du contrôle de la tuberculose bovine dans les milieux à faible revenu

    Accélérer le contrôle de la tuberculose bovine est une priorité pour la Fondation Bill & Melinda Gates…
  • Feuille de route pour la tuberculose zoonotique

    Réduire l’incidence de la tuberculose zoonotique implique de gérer le risque dès sa source animale…
  • Parité et pastoralisme

    Les femmes jouent un rôle clé dans le pastoralisme…
  • Point de vue sur le double usage

    Le terme « à double usage » est l’expression consacrée pour les innovations susceptibles d’être utilisées tantôt à bon ou à mauvais escient, y compris dans le domaine des sciences de la vie...
  • Vers un Plan mondial d’action contre la peste bovine pour une meilleure préparation des pays

    La peste bovine constitue toujours une menace, en raison du risque de fuite du virus à partir des établissements qui en détiennent encore des stocks. La réémergence de la peste bovine pourrait avoir un impact dévastateur à l’échelle mondiale, les populations bovines n’ayant plus aucune immunité face à ce virus...
  • La Convention sur l’interdiction des armes biologiques et son application pratique

    La Convention sur l’interdiction des armes biologiques interdit la mise au point, la fabrication, l’acquisition, le transfert, le stockage et l’utilisation des armes biologiques et à toxines et constitue un élément essentiel pour la communauté internationale dans sa lutte contre la prolifération des armes de destruction massive...
  • Réduire la menace en cette ère de nouveaux risques biologiques

    Près de 75 % des pays sont incapables d’atteindre les objectifs internationaux de biosécurité et de biosûreté. Il est impératif d’agir maintenant ! Que faut-il faire en vue d’un changement mesurable plus rapide ?